L’industrie de la microélectronique ne se limite plus à ses activités d’origine mais étend ses champs d’application à des univers aussi variés que les produits du quotidien ou la santé. Ses solutions sont utilisées dans les smartphones, les tablettes, les ordinateurs et les data centers. Les composants électroniques se retrouvent aujourd’hui dans les voitures, les objets connectés, les équipements industriels et médicaux. Le secteur de la Microélectronique & Électronique est donc crucial pour relever les défis sociétaux du XXIe siècle.
Les semi-conducteurs sont présents dans des milliards d’appareils électroniques. Tous les systèmes informatiques modernes sont composés de petites puces de silicium qui permettent de faire circuler des informations dans leurs circuits. Les semi-conducteurs sont considérés comme le nouveau « pétrole » d’une économie mondiale en tension avec un risque de pénurie. Les principaux enjeux de la microélectronique et de l’électronique sont l’augmentation de la puissance de calcul, la réduction de la taille des composants et la diminution de l’énergie consommée. L’objectif premier étant d’atteindre la qualité totale à moindre coût pour améliorer la durabilité des composants.
Pour l’électronique, la problématique principale est de pouvoir braser parfaitement sans endommager les composants de la carte électronique en enlevant les impuretés et les voids. Pour la microélectronique, la problématique principale est de pouvoir améliorer significativement le rendement qualité sans compromettre la capacité de production. Historiquement la microélectronique utilise du silicium mais pour des questions de rendement et de puissance de nouveaux matériaux comme l’AsGa et le SIC sont en train d’émerger et posent de nouveaux problèmes aux industriels. Pour le SIC par exemple, la fiabilité des composants est souvent insuffisante en raison d’un manque d’expertise de la très haute température nécessaire à leur travail. Pour l’AsGa, le rendement qualité total des wafers est souvent trop faible (15%) car la phase d’oxydation est mal maîtrisée.
La phase vapeur IBL se révèle être la solution technico-économique la plus pertinente pour les fabricants d’électronique à la recherche de qualité et de flexibilité. La vapeur chaude permet un transfert de la chaleur 10 fois meilleur que l’air chaud. Le brasage peut donc être effectué à une température plus basse ce qui permet d’éviter toute surchauffe des composants pour minimiser le risque d’effet popcorn et les mauvaises brasures (soudures froides/sèches).
Pour l’électronique, la phase vapeur d’IBL permet d’avoir le meilleur brasage possible au monde, donc la meilleure durabilité et la meilleure qualité possible pour les cartes électroniques à très forte valeur ajoutée souvent utilisées dans des environnements complexes. L’utilisation d’un four à phase vapeur IBL permet également une économie d’énergie significative grâce à une consommation entre 3 et 5 fois moins importante qu’avec un four à air chaud.
Pour la microélectronique, nous proposons une technologie d’oxydation unique au monde pour améliorer le rendement qualité dans la production des VCSEL. Nous proposons par ailleurs des technologies pour toutes les étapes de la microélectronique, pour l’AsGa, le silicium et le SIC.
AET Group intervient dans la conception et la production des matériaux semi-conducteurs innovants aujourd’hui et pour demain. Nos équipes d’experts développent des solutions technologiques inédites et compétitives pour favoriser la miniaturisation des puces, l’augmentation de leurs performances et la réduction de leur consommation d’énergie.
Nous avons la capacité de proposer à nos clients une approche « de bout en bout » grâce à nos compétences techniques et à l’expérience de nos équipes.
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